L'Affûteur Axonais, affûteur rémouleur itinérant pour les professionnels et particulier sur le département de l'Aisne : LAON et 80 Km au alentours est spécialisée dans l'affûtage de tous outils tranchants et coupants. Il se déplace à domicile ou vous pouvez le trouver sur les marchés.
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L'histoire du rémouleur d'hier et d'aujourd'hui
LE GAGNE PETIT D'HIER
Le métier de rémouleur qui était encore très commun jusqu'à entre les deux guerres mondiales, a presque totalement disparu. En 2007, il n'en reste plus que 6 ou 7 à Paris, dont la moyenne d'âge est assez élevée. Après leur départ à la retraite, il est presque certain que le métier aura disparu.
Le rémouleur se déplace avec sa petite charrette, brouette, ramoulette ou rabelette (Belgique) sur laquelle est fixée leur meule, dans les grandes villes, ou de village en village, s'arrêtant à chaque coin de rue en agitant sa clochette et en criant: « Rémouleur, rémouleur ! Repasse couteaux ! Repasse ciseaux ! ». Leurs cris et le crissement de leur meule sur le métal, faisaient dans le temps partie des bruits typiques des grandes villes.
Au début du xxe siècle, en Europe, le métier de rémouleur était une spécialité des Yéniches, surnommés aussi « Tziganes blancs ».
Autrefois le rémouleur était appelé le gagne petit
Sainte-Catherine est la patronne des rémouleurs
LE GAGNE PETIT D'AUJOURD'HUI
RémouleurBas du formulaire
Bas du formulaire
Aiguiseur de couteaux traditionnel en Inde en 2011.
Le rémouleur, également nommé émouleur ou repasseur, est un artisan qui aiguise à la meule les lames des instruments tranchants1. Le rémouleur ambulant se déplaçait autrefois, de ville en ville, avec une petite meule mobile.
Historique
Le métier de rémouleur est connu à Paris au Moyen Âge. Le registre de taille de 1292 mentionne six « Esmouleurs » ; celui de 1300 n'en cite plus que deux, plus un « Esmouleur de couteaux ». Ils appartiennent à la confrérie des « gagne-petit », regroupant divers métiers à très faible revenu, qui a sa chapelle au couvent des Augustins avec pour patronne sainte Catherine d'Alexandrie. Une branche particulière était celle des « Esmouleurs de grandes forces », c'est-à-dire des grands ciseaux utilisés par les fabricants pour tondre le drap : ils reçoivent un statut de Charles VI en 1407. Au XVIIIe siècle, les rémouleurs de rue sont appelés « Rémouleurs à la petite planchette », dit Jaubert dans son Dictionnaire des arts et métiers (1773), « à cause de la petite planche qui est sous leur pied, et par le mouvement de laquelle ils font tourner leur meule2 ».
Le rémouleur se déplaçait alors avec sa petite charrette, brouette, ramoulette ou rabelette (Belgique) sur laquelle était fixée la meule, généralement à eau et mécanique, dans les grandes villes, ou de village en village, s'arrêtant à chaque coin de rue en agitant sa clochette et en criant : « Rémouleur, rémouleur ! Repasse couteaux ! Repasse ciseaux ! ». Leurs cris et le crissement de leur meule sur le métal faisaient dans le temps partie des bruits typiques des grandes villes. Il prenait également en charge les poignards et épées des gentilshommes.
Au début du XXe siècle en Europe, le métier de rémouleur était une spécialité des Yéniches, surnommés aussi « Tziganes blancs ».
Le métier qui était encore très commun jusqu'à entre les deux guerres mondiales, a quasiment disparu d'Europe au XXIe siècle. Le rémouleur, comme de nombreux autres petits métiers, est victime du progrès (les couteaux en acier moderne s'usent moins vite, le "fusil" d'affûtage est devenu un outil domestique) et de la société de consommation (avec l'automatisation et l'importation de pays en voie de développement, le prix des couteaux a chuté et ne justifie économiquement plus leur ré-aiguisage).
En 2017, il n'en reste ainsi plus que cinq à Paris3, dont la moyenne d'âge est assez élevée. Après leur départ à la retraite, il est plausible que le métier disparaisse de cette ville, mais cette activité itinérante demeure notamment dans les campagnes françaises, avec des meules électriques embarquées dans un véhicule utilitaire, et des formations demeurent4.
Rémouleur (amoulaire) à Marseille au début du XXe siècle.
Dans la presse
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